Thomas Julienne est un contrebassiste, compositeur et arrangeur qui ne cesse de repousser les limites de la musique. Reconnu pour son style éclectique et son insatiable curiosité, il s’impose sur la scène musicale avec énergie et innovation. Ses racines algériennes, normandes et indo- vietnamiennes incarnent le multiculturalisme et l’ouverture. Il commence par explorer la guitare et le rock expérimental (Radiohead, Sonic Youth, Jimi Hendrix, GYBE, The Silver Mt. Zion), mais c’est la contrebasse qui devient son véritable terrain de jeu, où il fusionne jazz, musique classique et improvisation libre.
Formé par les maîtres français de la contrebasse comme Jean-Paul Macé, Kent Carter, Gilles Naturel et Jean-Philippe Viret, il développe ses compétences en orchestration et arrangement avec Christophe Dal Sasso et Carine Bonnefoy experts en la matière.
En plus de son travail avec «Theorem of Joy», il compose «Dysnomia Live», musique du photo-concert avec Alexandre Dupeyron. Il dirige l’Orchid Big Band et compose pour ce grand ensemble de 19 musiciens. Il collabore avec DJ Click pour des projets commandés par RFI International (Science Fiction, Soudan et bientôt Laos). Avec «Claude Trio» et Sophie Bataille, il crée « Le Voyage de Claude», un concert dessiné pour le jeune public. Il brille particulièrement en duo avec des artistes comme l’accordéoniste Laurent Derache et Raphaëlle Brochet. En tant que sideman, on le retrouve auprès de Panoramic Project, UHT de l’Orchestre Les Cordes Croisées.
Sociologue de formation, Thomas applique ses connaissances au jazz : il co-fonde le collectif et label Déluge et siège au conseil d’administration de Grands Formats.
Thomas Julienne est un musicien accompli, avec une vision esthétique forte, un sens stratégique vis-à-vis du réseau institutionnel, il sait aussi s’entourer pour développer un projet au mieux.
Voyageuse perpétuelle née de parents musiciens, Raphaëlle Brochet parcourt la planète pour glaner les savoirs et rencontrer les maîtres, principalement en Inde, en Iran et aux États-Unis. Vocaliste versatile, elle s’est construite sur deux traditions musicales : le jazz et la musique Carnatique.
Raphaëlle grandit dans le monde du jazz et derrière un piano. Enracinée dans la scène et tournée vers l’horizon, elle se forme à la danse contemporaine, à l’écriture classique et au chant jazz dans plusieurs conservatoires de France. Elle enregistre son premier disque à l’âge de 17 ans avec Floris Nico-Bunink (Mingus, Billie Holliday) aux Pays-Bas, obtient son DEM de jazz au Conservatoire de Nantes puis déménage à Montréal puis à New York, afin de se plonger dans la culture jazz-world locale. Après avoir étudié le jazz dans les conservatoires français, elle a passé une année à Montréal et une autre à New York, afin d’explorer les pratiques scéniques nord-américaines et d’écrire de la musique. Parallèlement à ses études de jazz et diplômée d’une licence d’anthropologie à la Sorbonne, elle effectue des séjours de plusieurs mois par an en Inde du Sud pendant près de quinze ans, pour y étudier la musique Carnatique et le Konnakol auprès de ses maîtres Sarada Thota et Ghatam Govindarajan. uis, elle obtient une bourse complète de la Wesleyan University aux États-Unis pour y approfondir sa pratique de la musique carnatique pendant deux ans, et retourne dans le monde avec un Master d’Ethnomusicologie de l’une des plus grandes universités du monde.
Curieuse de tout et décidément insatiable, elle se rend également en Iran pour étudier la musique Persane auprès de Fariba Davoodi, et en Indonésie pour étudier la danse balinaise auprès de Anom Putra. Côté scène et studio, on la retrouve auprès de Nguyên Lê, Pierre de Bethmann, Sophie Alour, SIXUN, Heiri Kaenzig, Stéphane Edouard, Philippe Aerts, Philip Catherine, Ziya Tabassian, Prabhu Edouard, Olivier Louvel et bien d’autres. Férue de collaborations transdisciplinaires, elle travaille avec des compagnies de théâtre et de danse, et chante et compose pour le cinéma. She is also very active as an educator and gives Son goût pour la transmission l’a emmenée en Malaisie, en Inde, au Canada et en Chine pour y enseigner la musique Carnatique et le jazz. Désormais installée à Paris, elle joue dans plusieurs projets : son solo, Khayal (Amine Mraihi), Travelin’ (Heiri Kaenzig), VBS (Franck Wolf) et Theorem of Joy (Thomas Julienne). www.raphaellebrochet.com
Que ce soit aux côtés d’Etienne Mbappé, François Jeanneau, Jean-Marie Ecay, Cheick Tidiane Seick, dans l’Orchestre National de Jazz ou en tant que leader avec son groupe Monsieur MÂLÂ, Robin Antunes est un jeune musicien à l’appétit insatiable pour de nouveaux univers musicaux.
Sideman à la personnalité recherchée par des artistes internationaux, on a pu également l’apercevoir aux côtés de Maher Beauroy, l’Ensemble Social Silence, Arcadian, Tony Chasseur, ou plus récemment Jane Birkin et Grand Corps Malade.
ssu du CNSMD de Paris et titulaire d’un Master de Jazz et Musiques Improvisées obtenu en Juin 2021, Robin est en constante recherche de nouveaux timbres et modes de jeu avec le violon et la mandoline. Il a déjà pu prendre part à un grand nombre de collaborations avec des artistes de nombreux styles et genres allant du jazz à la pop française, en passant par les musiques d’Afrique de l’Ouest, du Nord et des Caraïbes, l’ambiant et l’improvisation libre.
Ces expériences variées lui ont permis de nourrir et de développer son langage, tant dans les sons qu’il explore avec ses instruments et ses pédales d’effets que dans les compositions qu’il a produites. Ces expériences variées lui ont permit de nourrir et développer son langage, autant dans les sonorités qu’il explore avec ses instruments et ses pédales d’effets que dans les compositions qu’il a pu produire. C’est également un musicien très polyvalent et curieux, qualifié par certains de « libero », capable de changer de rôle et de s’adapter à de nombreux genres et casquettes, toujours avec justesse et exigence.
Tom Peyron est un batteur français basé à Paris. Après trois ans d’études au CMDL, il commence à jouer sur la scène jazz parisienne avec de nombreux musiciens tels que : Hermon Mehari, Frederic Borey, Pierre Perchaud et Ricardo Izquierdo.
Il a également partagé la scène avec Seamus Blake, Sylvain Luc et Chris Potter. T
Tom est un musicien polyvalent qui s’intéresse à différents styles de musique et joue récemment pour MceeAgora, un nouveau projet de hip hop.
Son jeu est évidemment influencé par les grands batteurs de jazz américain comme Tony Williams ou Elvin Jones et également par des « beat » de hip hop comme la musique de J.Dilla ou de The Roots.
Anthony Winzerith, compositeur et guitariste magistral originaire de Metz, a tissé une riche tapisserie de réalisations musicales depuis ses années de conservatoire. Après avoir étudié le piano, il s’est mis à la guitare, excellant à la Music Academy International de Nancy et se perfectionnant au Centre des Musiques Didier Lockwood.
Son parcours l’a conduit à Paris, où il s’est plongé dans la musique du monde, le jazz et au-delà, collaborant avec des artistes de renom et menant divers projets.
Son travail s’étend des rythmes vibrants du jazz brésilien avec Tekere aux sons novateurs de l’électro-pop avec 3Somesisters. La discographie de Winzerith, marquée par des albums comme « La tribu d’antho “ et ” Corpus », témoigne de son dynamisme et de son engagement dans l’exploration musicale.
Kévin Lazakis débute la guitare dès l’enfance. Originaire de Toulouse, Il a appris à jouer de la guitare dès l’enfance, alternant école de musique et études autodidactes. Au lycée, il s’inscrit en classe littéraire option musique et en classe de solfège au Conservatoire à Rayonnement Régional de Montauban (82).
Après le baccalauréat, il intègre la filière musicologie jazz de l’Université Jean Jaurès à Toulouse, puis la classe de jazz du C.R.R. de Montauban, dirigée à l’époque par le saxophoniste et compositeur David Haudrechy, où il obtient son DEM de jazz en 2014. Deux ans plus tard, il est admis au DNSPM du Centre des Musiques Didier Lockwood (C.M.D.L), où il se perfectionne auprès du guitariste Pierre Perchaud.
Depuis, il vit à Paris et travaille avec des artistes de tous horizons, aussi bien en tant que sideman (Cheick Tidiane Seck, Stomy Bugsy, Alexandre Monfort, Etibar Asadli, Clélya Abraham, Emcee Agora, Lester Getz, Violet Indigo, Theorem of Joy, Joanne Radao, etc.) qu’en tant que co-créateur (Machineless, Anga Tafè, Aïteka).
Compositrice, vocaliste et cheffe d’orchestre, Ellinoa est à la fois une leader affirmée et une sidewoman de luxe. Dans cette constellation, un fil rouge : jouer sur la frontière entre le connu et l’inconnu, pour permettre une expérience sensible nouvelle et inattendue.
S’exprimant autant par la voix que par l’écriture, l’exploration musicale est au cœur de sa démarche artistique, comme en témoigne le large éventail de projets qu’elle défend.
Que ce soit à la tête du Wanderlust Orchestra, un ensemble de 15 musiciens dont le premier album a été lancé au printemps 2018, ou dans ses plus petites formations, comme OPHELIA, elle ne cesse de repousser ses limites en tant qu’interprète. Improvisatrice et interprète,
dans Theorem of Joy, elle se met au service du jazz post-rock onirique de Thomas Julienne (Theorem of Joy, 2018 ; L’hiver, 2021 ; Dysnomia, 2022). En 2019, Frédéric Maurin fait appel à elle en tant que compositrice et vocaliste pour le programme Rituels de l’Orchestre National de Jazz, qui flirte avec la musique contemporaine (Rituels, 2020). En 2021, elle participe à la recréation par l’ONJ et Patrice Caratini d’Anna Livia Plurabelle, le chef d’œuvre d’André Hodeir.
A multi-talented guitarist renowned for his stage and recording experience as a leader (Sun Dew) or alongside renowned musicians (Jim Black, Gauthier Toux, General Elektriks, Jazzanova), as well as for his skills as an arranger/producer (Le Commandant Couche-Tôt).
Son : Cyrille Gachet
Photos : Alexandre Dupeyron
Logo : Nicolas Delbourg
Clip : Ahlala Studio
Clip : Marine De Contes
Production Diffusion : Collectif Déluge
Presse : Juliette Poitrenaud